HtmlToText
accueil rosaire histoires médits cadeaux qui suis-je contact politique de confidentialité enseignements sup. alim. jus herbe orge cliquer sur l'image pour y accéder gratuitement yvan amar cliquer sur l'image pour y accéder gratuitement exercices pour rester jeune cliquer sur l'image pour y accéder gratuitement guidances, méditations, relaxations cliquer sur l'image pour y accéder gratuitement histoires en conscience cliquer sur l'image pour y accéder gratuitement guidances, méditations, relaxations cliquer sur l'image pour y accéder gratuitement vos cadeaux de bienvenue cliquer sur l'image pour y accéder gratuitement rosaire d'instructions spontanées cliquer sur l'image pour y accéder gratuitement guidances, méditations, relaxations cliquer sur l'image pour y accéder gratuitement guidances, méditations, relaxations cliquer sur l'image pour y accéder gratuitement guidances, méditations, relaxations cliquer sur l'image pour y accéder gratuitement soutra de la voie du milieu j’ai entendu ces paroles du bouddha alors qu’il séjournait à la maison d’hôtes d’une forêt du district de nala. a cette époque, le vénérable kaccayana vint lui rendre visite et lui demanda : » le très honoré a parlé de vue juste. comment le très honoré pourrait-il décrire cette vue juste ? » le bouddha répondit à kaccayana : » les gens dans le monde ont tendance à croire en l’une de ces deux vues : la vue de l’être et la vue du non-être. c’est pourquoi ils sont attachés à une perception fausse. cette fausse perception les conduit aux concepts de l’être et du non-être. kaccayana, la plupart des gens sont prisonniers des formations internes de la discrimination et de la préférence, de la saisie et de l’attachement. ceux qui ne sont pas prisonniers des nœuds internes de la saisie et de l’attachement ne pourront plus imaginer l’idée d’un soi et s’y accrocher. ils comprendront par exemple que la souffrance apparaît lorsque les conditions favorables sont réunies et qu’elle s’éteint lorsque les conditions ne sont plus favorables. ils ne douteront plus. leur compréhension ne viendra pas des autres; elle résultera de leur vision intérieure. cette vision intérieure est ce que l’on nomme « vue juste » et c’est ainsi que le tathâgata décrit la vue juste. pourquoi est-ce ainsi ? quand une personne a une vision intérieure juste, et qu’elle observe la manifestation continuelle du monde, le concept de non-être ne survient pas; et quand elle observe, la destruction continuelle du monde, l’idée d’être n’apparaît pas dans son esprit. kaccayana, voir le monde comme existant est un extrême; le voir comme inexistant est un autre extrême. le tathâgata écarte ces deux extrêmes et enseigne le chemin qui réside dans la voie du milieu. la voie du milieu dit que ceci est, parce que cela est; ceci n’est pas, parce que cela n’est pas. parce que l’ignorance existe, les formations mentales existent; parce que les formations mentales existent, la conscience existe; parce que la conscience existe, les phénomènes physiques et mentaux existent; parce que les phénomènes physiques et mentaux existent, les six sens existent; parce que les six sens existent, le contact existe; parce que le contact existe, les sensations existent; parce que les sensations existent, le désir existe; parce que le désir existe, la saisie existe; parce que la saisie existe, le devenir existe; parce que le devenir existe, la naissance existe; parce que la naissance existe, la vieillesse et la mort existent. voilà comment cette masse entière de souffrance se manifeste. mais avec l’extinction de l’ignorance, les formations mentales cessent; avec l’extinction des formations mentales, la conscience cesse; … et finalement, la naissance, la vieillesse, la mort, le chagrin et la souffrance disparaîtront. voilà comment cette masse entière de souffrance s’éteint. après avoir écouté le bouddha, le vénérable kaccayana atteignit l’éveil et fut libéré de la souffrance. il fut capable de délier tous ses nœuds internes et atteignit l’état d’arahat. samyutta agama 301 traduction libre de chantal gorski du soutra de la voie du milieu. marqué avec éveil , sutra , sutra de la voie du milieu sutra du diamant 1 voici ce que j’ai entendu un jour: le bouddha demeurait dans le monastère du parc d’anathapinka, dans le bocage de jeta, non loin de sravasti, accompagné de mille deux cent cinquante moines pleinement ordonnés. ce jour-là, à l’heure dite pour les aumônes, le bouddha mit sa robe de sanghati, prit son bol et entra dans la ville de sravasti, allant de maison en maison afin d’y mendier sa nourriture. lorsqu’il recueillit ces dons, il revint au monastère afin d’y déjeuner. ensuite, il ôta sa robe, posa son bol, se lava les pieds, disposa son coussin et s’assit. 2 À ce moment, le vénérable subhuti se leva de son siège, rejeta son manteau sur son épaule droite, posa un genou au sol et, joignant les mains en signe de respect, s’adressa au bouddha: «honoré-par-le-monde, un être tel que toi est chose rare. tu soutiens toujours fermement les bodhisattvas et tu leur accordes ta pleine confiance. «honoré-par-le-monde, si les fils et filles de bonne famille entendent donner naissance au sublime et parfait esprit d’éveil, sur quoi doivent ils tabler et que doivent-ils faire pour maîtriser leur pensée? – voilà qui est parlé, subhuti! répondit le bouddha. tes mots sont d’une absolue justesse. le tathâgata soutient toujours fermement les bodhisattvas et leur accorde sa pleine confiance. aussi, écoute avec la plus grande attention, et le tathâgata répondra à ta question. si les fils et filles de bonne famille entendent donner naissance au sublime et parfait esprit d’éveil, ils doivent tabler sur ce qui suit et maîtriser leur pensée de la manière suivante. – “seigneur, fit le vénérable subhuti, nous sommes si heureux d’entendre ton enseignement.” continuer la lecture → marqué avec éveil , sutra , sutra du diamant sutra du cœur le maître bouddha, étant parvenu à la parfaite sagesse suprême, vit que les agrégats, avec lesquels nous essayons de comprendre le monde où nous vivons, sont artificiels et n’ont pas d’existence propre ; ce sont ces artifices, pris pour la réalité, qui sont causes de l’amertume et de la souffrance de tous les hommes. o disciple, la forme n’est pas différente du vide, ni le vide de la forme. la forme est vacuité. la vacuité est forme. il en va de même pour les sensations, les perceptions, les formations mentales et la conscience. o disciple, toutes les choses dans ce monde se résolvent dans la vacuité, elles ne viennent pas à l’Être, elles ne cessent pas d’Être, elles ne sont ni altérées, ni immaculées, elles n’augmentent ni ne diminuent. ainsi, dans la vacuité, il n’y a pas de formes, pas de sensations, de perceptions, de formations mentales, ni de conscience. pas d’yeux, pas d’oreilles, pas de nez, de langue, de corps ni de mental. pas de formes, pas de sons, pas d’odeurs, de goûts, de toucher, ni de pensées. pas non plus de consciences de ces choses depuis l’œil jusqu’à la conscience mentale. en soi seul, il n’y a ni interdiction, ni permission, ni aucun des douze chaînons, ni mort, ni vieillissement, ni souffrance, ni cause de souffrance, ni science, ni savoir. c’est en raison de cette vacuité non-dualisante, ni artificielle, que les Éveillés, s’appuyant sur cette sagesse suprême, sont libérés des obstacles du mental. comme ils sont libérés de ces attachements mentaux, ils n’ont ni voile, ni crainte. ils sont libérés de toutes les perturbations et de toutes les illusions et à la fin parviennent à l’éveil parfait. c’est en appliquant la quintessence de cette sagesse suprême que tous les réalisés des trois temps réalisent l’illumination ultime. partez donc sur la voie de la sagesse suprême avec le grand verbe d’incantation, ce mantra ultime ! mantra suscitant la connaissance, mantra incomparable, insurpassé, développant la faculté de mettre fin à toutes souffrances dans la vérité sans faille. c’est pourquoi ce mantra qui ouvre la voie de la sagesse suprême doit être prononcé ainsi : teyata – om – gaté – gaté – pâragaté pârasamgaté – bodhi svâhâ aller, aller, aller au-delà, au-delà du par delà, vers la rive de l’eveil allez, allez au-delà de la saisie immédiate de vos visions dualisantes, découvrez le sens originel et ultime de chaque chose pour accéder à l’éternité de l’Éveil, par la perfection de la sagesse suprême cela est ainsi ! marqué avec éveil , sutra , sutra du coeur esprit sans repos tu te plains encore et encore, de ce que ton esprit est sans repos, mais regardes, voies avec quoi tu l’alimentes ! n’oublies pas, le nourrir des idées d’un monde en perpétuel changement ne peut le rendre stable. ton esprit ne connaîtra de paix, de calme, que si tu l’amènes à s’établir dans l’Être (atman), qui seul est stable et paisible. normalité Écouter l’article normalité les personnes veulent généralement devenir d’autres personnes. nous ne voulons pas accepter la plupart du temps qui nous sommes. nous voyons l’herbe plus verte chez les autres mais rarement chez nous. pourtant, quoi de mieux que de voir et ressentir, être présent, lorsque toutes nos capacités s’expriment avec fluidité, s’expriment de l’intérieur vers l’extérieur tout en trouvant leurs places, leur justesse naturelle. de même sur notre environnement, nous croyons que la nature n’est rien ou qu’elle se laisse faire. mais au contraire la nature est en perpétuels changements, mouvements et dans un rythme bien précis et respectueux de son équilibre. voici quelques années en arrière, nous comprenions fortement que le rythme des saisons était nécessaire pour notre survie sur cette planète. aujourd’hui le temps n’est pas plutôt entré dans l’hiver que nous voulons sortir du printemps. il n’est pas plutôt arrivé en automne que nous regrettons l’été avec sa chaleur et ses plages. car nous considérons que la normalité devrait être l’été. dans tous les cas, ce que nous considérons bien pour nous, devrait être la normalité. nous ne travaillons plus les mal-êtres, nous ne nous posons pas ou plus les questions pourquoi nous ne sommes pas bien dans telles ou telles situations. nous accélérons et nous changeons de normalité avec cette accélération, perdant de vue le rythme de chaque chose, la musique de chaque événement et la vibration en toutes choses, nonobstant le fait, que nous nous perdons dans le consumérisme et les compétitions de celui qui va aller le plus vite. ainsi les situations, les événements que nous vivons au quotidien n’ont pas le temps de se terminer que nous passons à autre chose et de ce fait, bien des énergies, bien des mouvements, bien des situations restent en suspens. (cf article effets secondaires ) un centenaire disait que pour vivre longtemps nous devons consommer des aliments de notre région ou de la région où nous sommes nés. que nous devons boire de l’eau du même endroit d’où nous venons. si tentés que nous croyons à la réincarnation ou encore à d’autres existences non terrestres, nous venons sur terre avec des énergies bien particulières, des « branchements » très particuliers et des intentions bien précises qui souvent au fil des années s’éloignent de nous ou plutôt, nous pourrions dire que ce sont nos choix qui nous éloignent de nos énergies, nos branchements, nos intentions, car nous ne pratiquons plus ou peu la conscience de ces énergies dont nous sommes pourvus. nos énergies sont spécifiques à nous et seulement à nous. lorsque nous absorbons dans notre corps des substances alimentaires ou même de l’émotion (c’est aussi de l’absorption), que nous absorbions par le sensitif ou toutes autres formes d’absorption dont nous disposons et de quelque nature que ce soit, cela perturbe pas forcément en mal, mais cela perturbe, modifie, sensibilise aussi notre stabilité naturelle. cela modifie nos énergies et notre corps doit faire preuve d’adaptation pour rétablir la fluidité. nous pourrions dire qu’il y a encore des stimuli, des besoins de notre véhicule, le corps humain, de trouver rapidement une solution à tout ce stress, nous prouvant qu’il est nécessaire d’aller plus vite pour résoudre ces mal-êtres. et lorsque ces mal-êtres nous paraîtront résolus, alors nous pourrons nous reposer dans notre zone de confort et de bien-être ? où est la normalité dans ces cas ? est-ce la fluidité qui peut nous paraître être un repos, de l’espace, de la tranquillité du fait de cet espace, ou le changement qui nous fait nous adapter à chaque seconde ? est-ce nos croyances ou celles des autres qui font que cette normalité est un bien-être ou plutôt une mise en sécurité pour nous ? continuer la lecture → marqué avec absorption , acceptation , aliment , cause , concept , conscience , corps , dénonciation du faux , différence , dualité , effet , émotion , énergie , environnement , épanouir , esprit , évènement , existe , extérieur , faux , futur , humain , intérieur , intuition , libération , monde , naturel , normalité , norme , océan , passé , présent , respect , situation , témoin , travail sur soi , un , unification , union , unique , vérité , vrai top 27 aliments alcalins par william krasowsky le top 27 des aliments alcalins (mangez-en plus pour prévenir le cancer, l’obésité et les maladies cardiaques) le top 27 des aliments alcalins sur terre par : william krasowsky voir aussi l’article lesintuitions.com : l’alimentation équilibrée voir aussi l’article lesintuitions.com : le principe du ph la restauration rapide et la malbouffe ont envahi notre société, nous rendant dépendants de ce genre de nourriture. bien loin de la seule nocivité des ingrédients que contiennent les produits vendus dans les « fast-foods », ce style alimentaire déséquilibre le ph de notre corps. découvrez donc les aliments alcalins à consommer pour contrer ces effets néfastes ! le corps humain nécessite la consommation d’aliments alcalins pour le bon fonctionnement de l’organisme. car quand nous mangeons des aliments acides, le ph dans notre sang change d’un niveau alcalin normal à un niveau d’acidité dangereux. cela affecte le système immunitaire et nous rend vulnérable face aux maladies. continuer la lecture → marqué avec top 27 aliments alcalins par william krasowsky les petites morts Écouter l’article les petites morts les petites morts sont des schémas qui nous poussent à nous faire croire que nous allons mourir. parfois consciemment et parfois inconsciemment. parfois cela relève d’une absence de reconnaissance, d’un manque, que l’on attribue à une absence de vie. parfois cela vient d’un jugement personnel face à une situation et nous plongeons dans un vide que nous traduisons par une absence de vie. mais cette reconnaissance, ce manque, ce vide sont fondés par quoi, sur quoi ? le système parental ? le système éducatif ? le jugement du monde emprunt d’influence familiale et que nous persistons à continuer d’appliquer au fil de nos expériences ? je dirai peu importe car un système de reconnaissance basé sur l’extérieur de nous est voué à l’échec et à des blessures si profondes, qu’il pourra être difficile de les voir et/ou de s’en libérer. difficile ne veut pas dire impossible, mais veut dire qu’une libération pourra être longue. difficile, jusqu’à ce que nous posions un regard, une conscience sur ce que nous croyions mentalement absurde au premier abord et un peu plus tard, qui prendra le chemin de la libération de ces schémas installés, le temps que la compréhension s’installe. ces schémas ne nous entraînent pas toujours dans l’extrême, c’est à dire vers ce sentiment de mort ou de vide profond, mais peuvent nous positionner dans une espèce de dépression, de pensées mélancoliques, d’une impression de tourner en rond, d’avoir un petit vélo dans la tête, d’être en prison etc…. nous apprenons à juger par rapport à ce que cela nous rapporte et nous considérons que si cela ne nous rapporte rien alors il n’y a pas de vie. nous n’apprenons pas à juger par rapport au besoin de la situation présente. c’est à dire si ce que nous faisons, si ce que nous générons autour de nous est juste et si cela génère du bien être pour nous et autour de nous. nous n’apprenons pas non plus à regarder et surtout à trouver par nous même, les solutions de notre vie quotidienne. nous forgeons notre jugement emprunt d’influences mentales, de déductions et tout cela dénué de perception, parfois même dénué d’observation. tout au plus nous nous essayons dans cette observation accompagnée d’une recherche de solution personnelle au travers du système éducatif, mais pour de courtes périodes et comme outils ponctuels. trouver ne veut pas dire appliquer un concept, une manière, mais bien de créer notre propre manière, notre propre concept en fonction de ce que l’on perçoit, de ce que l’on pressent, en fonction de nos intuitions et de nos observations et dans le respect des acteurs de la situation, dans le respect de la situation elle même et de sa demande. continuer la lecture → marqué avec accueil , accueillir , attitude , aujourd'hui , bloquer , bonheur , corps , croire , déduction , demain , émotionnel , énergie , esprit , évènement , évolution , fluidité , fragilité , hier , influence , intuitions , jeux , joie , lâcher , lâcher prise , liberté , méditation , mental , mort , mourir , observation , perception , petite mort , physique , pleine conscience , pose , poser , quotidien , reconnaissance , regard , rivière , se poser , simple , situation , valeur , vie , vivre , vivre en conscience nature Écouter l’article nature bon nombre de personnes disent que nous venons des grecs, des latins, des romains, des francs (germaniques), des arabes, que nous sommes d’origine de notre pays, américains, français, chinois ou australiens parce que nous avons été influencé par d’autres ethnies ou parce que nous sommes nés dans ce pays etc… mais est-ce là notre véritable nature ? bien sûr nous avons eu des influences et nous en avons encore et bien plus que nous le croyons. regardons simplement les alliances entre pays, notre manière de nous alimenter ou encore l’environnement social qui n’est certes pas pareil, par exemple d’un pays du sud-est de l’asie et d’un pays nord-européen. mais ces influences ne sont que de la communication, la manière de nous exprimer verbalement et parfois même pour exprimer quelques pas de danse différents, nous pourrions dire. pour des anglophones, dirions nous que tous les anglophones sont anglais ? ou dirions nous que tous les francophones sont français ? peut être même, dirions nous que tous les humains sont pareils, avec une égalité ou une liberté parfaitement égale ? si nous regardons bien la nature de la race humaine; car si l’on parle de races, il n’y a pas une race jaune, rouge, blanche ou noire, asiatique, caucasienne, africaine etc, mais une seule et même race celle de la race humaine; notre nature n’est pas seulement que de la communication. les mots, la formulation, parfois même la notion de réflexion sont toutes empruntes d’influences. mais là-dessous, devant toute cette globalité que forge notre être tout entier, la communication n’est en fait qu’une partie de cette expression. 90% du langage du corps ne fait pas parti du verbe. doit on considérer que ces 90% sont d’influences grecques, latines, francs ou plutôt germaniques ou encore arabes ou autres ? si nous définissons le nous par les 90% qui nous habite, alors nous tentons à être fortement ces 90%. et non pas les 10% restant si tentait même que l’on puisse en calculer le pourcentage. la réalité n’est pas une coque que l’on nous attribut. si nous nous laissons faire et bien peut être que nous deviendrons cette coque, cette limitation, cette programmation, mais nous verrons apparaître des désordres physiques, psychiques, car la nature véritable de l’être ne peut être longtemps retenue. certes nous ne sommes pas des bêtes ou encore des êtres voués à tuer ou encore violenter son prochain. Ça c’est ce que nous croyons et c’est ce que l’on essaye de nous faire croire. croire que c’est la seule porte de sortie ou encore résultante à appliquer dans les situations. en fait il s’agit là que d’effets liés a une cause, celle de laisser son esprit être emporté par des émotions mal gérées. Émotions mal gérées et qui nous rendent aveugles face aux situations que nous vivons. notre nature véritable est composé de plusieurs choses et pas seulement ce qu’on nous évertue à mettre en avant. on tente de nous faire oublier 90% de ce que nous sommes au travers de séductions multiples et variées et essentiellement au travers du plaisir matériel quotidien. tv, téléphone, derniers vêtements à la mode, argent, pornographie, même les couleurs des produits que l’on nous sert, l’éducation, tout est fait pour nous vendre les mérites et plus particulièrement nous détourner de nous, de notre nature véritable, de nos possibilités. même les mots sont détournés dans leur sens premiers pour que nous oublions notre sens critique, notre vision claire des choses et des situations. continuer la lecture → marqué avec alimentation , amour , attention , communication , conditionnel , conscience , corps , devenir , égalité , énergie , energies , esprit , évidence , expression , forêt , influence , intimité , intuition , intuitions , ivre en conscience , matière , méditation , nature , nature véritable , origine , plaisir , pleine conscience , race , ressenti , s'occuper , situation , soi , sport , unique , verbe expériences Écouter l’article expériences le bouddha a enseigné que la méditation est le moyen d’atteindre la réalisation. pour prendre un exemple, supposons que quelqu’un n’ait jamais mangé de miel. on ne peut convaincre cette personne qu’il est sucré, simplement en lui répétant que tel est le cas. même si cette personne comprends le sens des mots employés, tant qu’elle ne l’aura pas goûté, elle ne fera pas l’expérience de sa douceur. en ce qui concerne le dharma, même si nous recevons les enseignements et y réfléchissons pendant longtemps, tant que nous ne les appliquons pas dans la méditation, nous ne pouvons les intégrer. thrangou rinpoche. la pratique est primordiale. chaque expérience doit se faire en temps et en heure. précipiter les choses ne causera que désagrément et fera naître d’autres effets. nous ne sommes pas venus ici pour tout tester, tout expérimenter, sauf si nous en faisons le choix. mais est-ce un réel choix ? nous sommes venus pour faire certaines expériences. a chaque mouvement, la nature cherche la voie du milieu, celle de l’équilibre. ainsi un esprit en mouvement rencontrera le mouvement. ainsi un corps en mouvement, rencontrera le mouvement. qu’il soit intérieur, subtile ou encore extérieur, le mouvement existe bel et bien. même lorsque nous nous arrêtons ou plutôt même lorsque nous semblons nous arrêter. le mouvement attire le mouvement et parfois pas celui que l’on souhaite. en d’autres termes nous devons méditer sur ce qui est bon pour nous au moment où nous l’expérimentons. si cette faculté de mouvement est en symbiose avec la ou les situations que nous vivons ainsi que nous même, alors ce mouvement fera parti d’un tout et nous bénéficierons d’effets positifs. savoir renoncer à une situation parce que nous ne sommes pas prêt est aussi efficace que d’expérimenter une situation, parce que nous ressentons la nécessité forte intérieure de le faire. non point parce que cela nous rapportera quelque chose mais bien parce qu’un élan intérieur nous guide. non point parce que nous sommes tenaillés par la possession ou l’envie d’avoir, de posséder ou parfois même, le simple fait d’expérimenter pour expérimenter, mais bien parce qu’une communication subtile, un appel intérieur, une intimité naissante s’installe. et pour reconnaître cela en nous, nous devons nous connaître, nous regarder, nous voir et installer une pratique de notre intimité profonde. continuer la lecture → marqué avec action , ami , bouddha , choix , corps , dharma , eau , enseignement , esprit , être , évènement , expérience , intention , intimité , intuition , justesse , méditation , observer , ouvrir les yeux , pleine conscience , poser , possibilité , pratique , présence , réalisation , regard , se poser , simple , soi , temps , tendresse , utilisé , vivre en conscience , voir ecouter les silences Écouter l’article Écouter les silences je parlais de silence dans l’article précédent… prenons-nous le temps de fouiner, de fouiller, d’effeuiller les couches de notre intérieur ? avons-nous pensé à nous arrêter ? arrêter de bouger, intérieurement et extérieurement ? arrêter, de nous occuper l’esprit, le corps ? arrêter. nous poser. nous stopper ! arrêter, mais vraiment ! nous arrêter totalement afin d’écouter, de regarder, de sentir notre corps se poser, se détendre, se mettre en pause. avons-nous seulement et vraiment essayer ne serait-ce qu’une seule fois ? juste quelques 10 minutes. et aussi, de nous préparer à vivre cet événement de manière à nous donner la possibilité de rassembler tous les éléments nécessaires à ce moment. Éléments qui se composent d’une petite préparation pour que notre corps ne soit pas tenté de s’occuper physiquement par la vue, par le goût, par le touché, etc… position méditative ou je dirai plutôt position d’observation de notre corps et de notre esprit, assis ou allongé, dans tous les cas une position où nous sommes détendus où nous pouvons nous détendre, pour favoriser le lâcher prise des stimuli extérieurs. laisser se poser l’esprit, la respiration et le corps avec ses muscles et son système nerveux, et surtout observer notre capacité à voir tout ce qui pourrait être cacher derrière les émotions et les pensées qui pourraient surgir. ce n’est peut être pas du mouvement d’ailleurs. observer, non pas juger, mais observer en laissant passer comme une rivière qui coule, tout ce qui pourrait surgir de nous ou qui apparaîtrait à nos sens dans ce très bref instant lorsque nos pensées et nos émotions cessent d’être en mouvement. je parle bien d’observation et non pas de stress lié à une attention poussive et extrême. la respiration et la concentration. Être là, présent à soi. c’est pour cela que la pratique de la méditation nous apporte la sérénité suffisante pour ne pas nous laisser aller à un but ou à une attention extrême qui favoriserait la mise en stress dû à une attente d’un événement intérieur, dû à une attente de résultat. observer son corps est simplement le fait de poser le regard sur les différentes parties de notre corps, pas d’en émettre des émotions à chaque fois que nous rencontrons une partie de notre corps. encore moins de la modifier, de projeter quelques pensées que ce soit sur elle. lorsque nous nous plaçons en méditation, nous sommes dans l’observation, pas dans l’action, du mouvement intérieur physique et du mouvement intérieur de notre esprit. le fait de se poser est réel. le fait d’observer est réel. continuer la lecture → marqué avec action , allongé , arrêter , assis , bouger , capacité , composante , concentration , corps , détendre , émotion , énergie , espace , esprit , évènement , évolution , expérience , extérieur , gout , intérieur , intuition , joie , lâcher prise , manque , méditation , muscle , observer , paix , pause , pensée , peur , physique , pleine conscience , réception , réel , regarder , relâchement , respiration , rivière , s'arrêter , sentiment , silence , silence intérieur , solitude , stress , système nerveux , touché , toucher , vivre en conscience , voir , vue il est facile de dire… il est facile de dire lorsque nous avons une cigarette à la main, que nous pouvons arrêter quand bon nous semble. il est facile de dire la panse bien remplie que nous comprenons la faim dans le monde, que nous savons ce qu’est la faim et que nous compatissons aux personnes qui sont dans cette situation. il est facile de dire, pour un dépendant de drogue ou d’alcool et qui vient de prendre sa dose ou son verre, qu’il est capable d’arrêter quand il veut. il est facile de dire, alors que nous avons le pouvoir, qu’il est très facile de penser comme ceci ou de faire cela ou que nous devrions faire comme ceci ou cela. il est facile de dire, les poches pleines d’argent, que l’on ne comprend pas ceux qui ont du mal à trouver du travail ou à gagner de quoi ce nourrir. il est facile de dire que notre façon de vivre devrait être celle de tout le monde. ceci serait tellement plus simple. il est facile de dire, alors que nous payons un loyer de 1’000 ou 1’500€/mois ou parfois plus, de le définir comme normal et aisé de le payer, alors qu’il y a beaucoup de personnes qui ne gagnent même pas la moitié de 1’000€. il est facile de dire parce que nous avons réussi quelque chose ou que nous avons réussi une entreprise, notre but ou encore notre rêve, que tout le monde peut faire la même chose ou que c’est aisé d’en arriver là. savons-nous ce que peuvent ressentir ou même penser nos parents, nos amis, nos connaissances ou encore les personnes qui nous entourent ? nous ne savons rien. et même si certaines personnes s’évertuent à poser des questions sur tel ou tel sujets, politiques, existentiels ou encore sur des sujets intimes et qu’ils en fassent des statistiques, nous ne savons rien. car l’être humain est profondément humain (ça c’est une lapalissade) et peut-être aussi bien un être exécrable envers les siens qu’un ange aux aspirations altruistes. c’est lorsque nous touchons, non pas seulement de l’esprit, de notre compréhension mais surtout dans notre corps, dans nos tripes, dans nos ressentis les plus profonds, les vibrations des situations ou encore les événements auxquels nous sommes confrontés et que nous rencontrons profondément l’autre ou les autres, que nous pouvons commencer à nous rendre compte de ce que l’autre peut entrevoir, percevoir, ressentir. mais nous ne saurons jamais avec exactitude ce qui se passe à l’intérieur de chaque personne. continuer la lecture → marqué avec amour , apprendre , bien être , bouddhéité , compréhension , conscience , dire , émotion , énergie , essentiel , évènement , expérience , facile , faire , fluidité , gouvernement , grandir , interdépendance , intérieur , intuition , limite , mourir , mouvement , pensée , personne , pleine conscience , présentir , processus , réaction , remise en question , risque , sentir , similitude , simplicité , situation , véritable nature , violence , vivre en conscience submergé(e) Écouter l’article submergé Être submergé(e) ! ce sentiment connu que nous connaissons plus que bien. des émotions qui nous prennent avant même que nous ayons le temps de dire ouf. une situation que nous avions résolu et pourtant elle resurgi. le cri intérieur, l’envie de crier fort, d’être entendu, d’être compris(e), d’être enfin reconnu(e) ou, l’envie que l’on nous lâche les baskets, d’être le premier ou la première car nous avons tellement passé de temps à être dans les dernières places… mais pourquoi moi ? pourquoi suis-je malheureux(se) alors que j’ai tout fait pour palier à cela ? alors que je suis sur un chemin depuis tant d’années, que j’ai un regard sur la vie beaucoup plus précis et je suis encore la proie de ces émotions ? autant de questions que nous pouvons nous poser pendant ces moments douloureux et personne n’en est à l’abri lorsque le processus est commencé. nous sommes des êtres doués de sensibilité et de fragilité. Ça nous le savons. ce que nous ne savons pas trop bien, ou pas souvent c’est que notre corps reçoit toutes les informations possibles et inimaginables qui nous permet de sentir, de pressentir la submersion. mais nous ne semblons pas les écouter. aussi et lorsque nous augmentons notre sensibilité, nos acuités, notre taux vibratoire, nos perceptions, nos intuitions peu importe les mots, nous ressentons les tumultes de l’existence et peut être dix fois plus que la normale. mais je vous parle du côté, comment dire, qui nous met mal à l’aise. il faut penser aussi à l’inverse. les moments qui nous submergent avec de la joie immense, de l’incommensurable amour d’une personne qui ne veut pas sortir de notre tête. nous y pensons tous les jours, du levé au couché et dans chaque instant qui passe. cette amour, que nous définissons comme être de l’amour, nous transperce, nous inonde de plaisir inexplicable, bref, nous sommes submergés ! et nous n’avons en tête que la solution d’être avec cet être qui nous submerge ou de perdurer une situation de bien-être tant nous sommes dans ce que l’on appelle la joie ou ce que l’on qualifie comme étant du bien être pour nous. continuer la lecture → marqué avec 3d , 4d , 5d , apprendre , bateau , bois , chemin , corps , eau , élément , éloignement , émotion , énergie , équilibre , esprit , être , évolution , existence , extrême , fuir , intégration , intégrer , intuition , mer , observateur , pensée , perdu , perte de repères , plaisir , pleine conscience , se noyer , sensibilité , soleil , submergé , tempo , temps , tension , vague , vent , vibratoire , vie , vigilance , vivre en conscience un être en tension est un être en modification Écouter l’article Être en tension c’est être en modification lorsqu’on rencontre une situation difficile, un mal-être, et que nous nous en détournons en refusant cette situation ou ce mal-être, tout ceci crée une distorsion dans notre façon d’être, dans notre présence, dans notre vibration. regarder ailleurs, regarder au delà de cette situation c’est à dire dans le ressenti de cette situation, dans l’élan de cette situation et, entrer dans ce que nous devons faire, dans ce qui est juste pour la situation actuelle, non pour nous, non pour la personne, l’autre ou les autres acteurs de la situation, mais pour la situation présente. nous devenons alors disciple de la situation. rester dans l’état de mal être, ou peut être adopter un mode de combat et essayer de diriger la situation comme nous croyons que c’est juste par la déduction et être persuadé que nous sommes dans le juste, n’est que du bavardage, de l’auto-négociation… rester dans cet état, n’est que l’entretien d’un mal aise face à la situation présente que nous définissons comme ne pas nous correspondre. c’est l’attachement à la situation. c’est la création d’une distorsion. si nous persistons dans cette distorsion, alors nos énergies sont pompées ou autrement dit nous nous fatiguons, nos énergies se mettent en fuite. si nous persistons dans cette distorsion, alors nos intuitions sont faussées, notre regard est flou, nos pensées sont égotiques, notre mental est bloqué dans ce processus, ce cercle vicieux, cette rue sans sortie. pendant que certaines personnes s’évertuent à faire comprendre à d’autres, de manière égotique par déduction ou par réaction, le pourquoi de ce qu’il ne faut pas faire, et dans notre quotidien que cela soit face aux autres ou encore à nous même, nous devons agir pour le bien de la situation non pas pour ce que nous croyons être bien pour les autres. c’est valable dans tous les domaines de la vie. pour cela nous devons apprendre de nous et nous devons apprendre de la vie et les éléments qui la composent. la terre, le ciel, l’humain et toutes ses composantes, les animaux, les plantes et les cristaux et les fluides en font parties. mais en priorité nous devons apprendre de nous, de notre intimité profonde. c’est à dire porter ou plutôt poser le regard sur nos bruissements intérieurs, sur nos vaguelettes émotionnelles, sur les tressaillements de nos pensées afin de déterminer si notre regard est bien neutre face à ce que la vie nous présente, là maintenant. et j’ai bien dit poser le regard. non pas, nous laisser bercer ou encore nous laisser prendre ou bien prendre pour nous, tous les aléas ou toutes les vicissitudes de notre intérieur non maitrisé. poser le regard dans notre être profond en regardant si les tumultes de notre esprit et de nos émotions que sont nos peurs, nos craintes, nos angoisses, nos désillusions, nos aspirations, notre amour conditionnel, nos rêves, nos phantasmes, nos désirs, nos certitudes, nos incertitudes… sont présentes ainsi que toutes les composantes de nous. ce nous que nous projetons ! nous, dans ce que nous croyons être nous et dans ce que nous croyons que compose ce nous. rajoutant bien souvent des émotions, des pensées, de multiples adjectifs, adverbes, pour nous sentir multiple, large et bien portant mentalement jusqu’au bourrage, jusqu’au « dégueulis » même de notre esprit; car le plus, fait mieux que la simplicité n’est-ce pas ? Être rempli, être beaucoup, être multiple, être croyances, être gonflé, être plus fort que…, savoir faire des quantités de choses, voilà ce qui nous séduit. Être plus, être mieux que… l’autre ? continuer la lecture → marqué avec arrêter de souffrir , choix , communiquer , comprendre , contrôle , distorsion , ego , émotion , énergie , esprit , intuitions , pleine conscience , processus , protection , réaction , réalisation , réalise , relâchement , situation , souffrance , souffrir , vibration , vie , vivre en conscience la patience cultiver la patience apprend à développer la compassion envers ceux qui nous blessent sans accepter pour autant qu’ils nous détruisent. la compassion est le meilleur thérapeute de l’esprit. elle le libère de toutes attaches et de la saisie des émotions conflictuelles. sa sainteté le 14ième dalaÏ-lama nous créons notre propre malheur sans cesse, nous créons notre propre malheur du fait de notre ignorance et de notre discernement. notre esprit est tiraillé entre ce que nous aimons et ce que nous rejetons. nous agissons comme si nous pouvions refuser les circonstances qui se pr2sentent à nous. nous oublions que rien ne dure et n’a d’existence en soi. nous oublions que nous pouvons mourir à tout instant. sa sainteté le 14ième dalaÏ-lama mooji – un enseignant un grand moment avec mooji qui met en scène une histoire concrète de la vie pour mettre en image le mental qui s’agite et notre identification aux pensées. voir la page de mooji marqué avec conduire , énergie , essuie glace , intuitions , mooji , pleine conscience , vivre en conscience les dimensions ciel, humain, terre Écouter l’article les dimension terre ciel humain nous devons déjà intégrer la dimension humaine et nous avons à nous occuper de deux autres dimensions que sont la terre et le ciel qui ont des influences très importantes et très présentes sur nous. et nous ne sommes pas informés de l’importance de ces pôles. si nous sommes informés, nous considérons ces dimensions, ces pôles comme secondaires car nous regardons uniquement leur existence, leur présence dans le physique. nous ne portons aucunement un regard subtil sur les composantes ou encore les finesses des inter-relations avec notre corps qu’ont ces dimensions du ciel et de la terre. pourtant elles font parties du fondement même de notre existence. elles ont toujours été là. donc il n’y a pas de raison pour que cela change, non ? et de ce fait nous les considérons comme acquises. pourtant le manquement d’une de ces deux composantes que sont la terre et le ciel, et nous ne sommes plus rien. nous sommes très occupés à nous harmoniser avec notre dimension humaine. nous ne faisons que cela d’ailleurs et nous oublions les principales que sont celle de la terre et du ciel. et je ne vous parle pas d’harmonisation avec les autres humains ou encore avec les animaux. d’ailleurs, nous pouvons nous demander parfois, qu’elle est la frontière entre les deux. les émotions, les pensées, pour ne parler que de ce que nous pratiquons chaque jour, tout ceci occupent sans cesse notre esprit. nous ne connaissons que cela. et nous allons même nous en créer d’autres pour baigner, pour nous abreuver, pour nous submerger de ces pensées et de ces émotions. nous allons même être le créateur ou la créatrice de ces émotions et de ces pensées. comment voulez vous intégrer, ne serait-ce qu’entrevoir d’autres choses, d’autres systèmes de fonctionnement, d’autres moyens de communications, d’autres perceptions de nous même, une autre manière de nous regarder. lorsqu’on se sent porté par les deux dimensions de la terre et du ciel, nous pouvons en être conscient et ainsi aller vers la rencontre de notre condition humaine, de notre être tout entier. mais si nous ne nous rendons pas conscient de ces deux pôles fondamentaux, que sont la terre et le ciel, nous créons de la distorsion dans la relation entre ces trois pôles. il n’y a ni priorité, ni ordre à respecter. nous devons poser le regard sur ces trois dimensions, poser le regard et ainsi s’ouvrir à ces dimensions pour sentir au plus profond de notre être les interdépendances qui nous lies. terre, humain, ciel, un trio fondamental pour notre réalisation. Être présent à soi, être rassemblé, être à l’écoute de nous même dans la subtilité, c’est à dire, dans le simple bruissement des battements de notre cœur ou encore dans un touché très léger d’une matière comme notre pantalon ou encore notre robe ou notre pull-over que nous portons ou même, ramener ces mouvements très subtiles, presque imperceptibles du simple fait de ramener, de rassembler nos doigts dans notre main. tout ceci nous semble futile, nous semble très petit face aux tumultes et aux vicissitudes de la vie. et pourtant lorsque nous avons des soucis de motricité de nos mouvements, tous ceux-ci prennent un caractère démesurés et mettent du temps pour se reconstruire. je parle en terme de mois et, parfois même, en terme d’années. c’est là, que nous nous apercevons que notre corps, notre esprit, toutes nos fonctionnalités sont importantes et que la puissance de vie qui nous habite, qui nous anime, qui anime nos membres, et bien nous ne sommes pas capable aujourd’hui de sentir cette puissance de vie, cette composante que l’on peut comparer à une force électrique qui fait de nous un être vivant. cette force électrique qui paraît être d’une puissance incommensurable et pourtant régit une subtilité et une finesse comparable au bruissement de l’air qui fait bouger une plume. mais nous occupons notre esprit et notre corps à d’autres généralité de notre existence. continuer la lecture → marqué avec ciel , communication , composante , corps , démarche , desjardins , dimension , écoute , émotion , énergie , énergie vitale , esprit , existence , finesse , fluidité , harmonie , harmonisation , humain , information , intégrer , inter relation , intération , intuition , intuitions , intuitive , pensé , perception , physique , pleine conscience , pôle , poser , puissance de vie , qi , rassemblé , regard , sentir , simensions , subtil , subtile , terre , vivre en conscience prendre le temps de la réflexion la nuit, si nous regardons le reflet de la lune à la surface paisible d’un étang, elle a exactement la même apparence que si nous la voyons dans le ciel. a nos yeux, il n’y a aucune différence, et pourtant, nous savons que la lune dans le lac n’est qu’un reflet, une illusion. pour cet exercice, vous pouvez vous servir de votre miroir : regardez-vous simplement un instant dans la glace. vous voyez le moindre détail – la taille que vous faites, le nombre de cheveux blancs que vous avez aujourd’hui. mais en dépit des apparences, ce n’est pas réel. tout comme la lune dans le lac, le visage que vous observez n’est qu’un reflet. c’est une méditation contemplative qui nous aide à comprendre que, dans le monde, rien n’a une réalité immuable. cela nous aide à mieux comprendre que c’est l’esprit qui donne du sens à tout ce qui nous entoure – qu’il n’y a pas une vérité unique, mais que tout n’est que perception et apparence. c’est la raison pour laquelle deux personnes qui ont vécu exactement la même situation en ont parfois une perception très différente. imaginez-vous simplement par exemple, en vacances à la campagne. quand il pleut vous êtes très déçu, mais les paysans sont ravis. la pluie est-elle une bonne ou une mauvaise chose? il n’y a pas de réponse définitive. l’objectif de ce types de méditation est de nous exercer l’esprit, afin que nous puissions nous mettre à la place des autres pour essayer de voir les choses de leur point de vue, même s’ils nous contrarient ou nous énervent dans un premier temps. il est si facile de juger les autres, et nous oublions souvent de prendre le temps de voir que la situation est généralement plus complexe qu’il n’y paraît, et que nous ne sommes peut-être pas parfaits non plus. si nous étions parfaits, nous serions bouddha. le bonheur est dÉjÀ la. sa saintetÉ le gyalwang drukpa. demeurer ou ne pas demeurer…ou être un demeuré Écoutez l’article ! demeurer la plupart du temps je suis personne. lorsque je deviens quelqu’un, c’est là, si je suis conscient et si je suis présent à moi-même dans cette intimité personnelle, que mon travail de chercheur du bonheur commence. Être sur la voie de l’éveil, sur la voie de la conscience, de ma présence en chaque instant, peu importe les mots employés, est de déceler les moments où je rÉagis. c’est lorsque je lâche ma conscience de l’instant que mon égo surgit. c’est lorsque ma conscience quitte mon esprit que j’emploie le « moi moi moi », « le moi je veux ». c’est aussi lorsque j’observe mon intérieur, mon esprit et mon corps et que j’aperçois une résistance, une altération, une non fluidité, que je dois poser mon regard et que je dois faire une pause afin de resserrer mon observation. quel est ce bruit intérieur qui empêche cette fluidité de demeurer en moi ? qu’est-ce que je ressens intérieurement face à cette situation ? demeurer dans l’instant c’est aussi courir après un but et ce but est souvent emprunt d’égo. car je veux atteindre ce but ! ne pas demeurer , peut être aussi une manifestation de l’égo qui ne veut pas se fixer. car je ne veux pas rester pour ne pas être attrapé ou encore ne pas être contrôlé, être étiqueté ou dans beaucoup de cas être différent c’est se démarquer et se faire remarquer pour obtenir une reconnaissance. Être un demeuré peut être assimilé à : « rien dans le citron, pas de mourons ». pas de conscience, une présence soumise aux vicissitudes de la vie aux énergies de toutes sortes. Être la marionnette de n’importe quoi n’importe quand. mais sur le chemin de l’obligation de conscience, ou nous pourrions dire, sur un certain cheminement de la vie et de la compréhension des évènements de la vie, comment pouvons-nous nous réaliser si nous ne pouvons rien être ? continuer la lecture → marqué avec attitude , caractère , communication , connaissance , conscience , corps , déguisement , demeuré , demeurer , ego , énergie , environnement , esprit , fluidité , habit , intérieur , intime , intimité , intuition , lâcher , maîtrise , observation , observé , parler , pensée , pleine conscience , pratique , protection , protégé , protéger , saisie , saisir , situation , vêtement , vie , vivre en conscience le propre de l’humain Écoutez l’article ! le propre de l’humain est-ce que le sérieux, la raison, le mental sont les propres de l’homme ? visiblement non. car lorsque les êtres, que nous sommes, expriment avec une grande volonté leur amour, tout s’envole ! alors lorsque tout s’envole… est-ce un manque de maturité ? est-ce un manque de clarté ? est-ce un manque de présence ? je ne le crois pas. ce que je crois, c’est que l’amour est le propre de notre être et le fait de l’exprimer nous rend heureux. ici, pas de mental, pas de raison, pas de sérieux. lorsque nous sommes submergés par l’amour, le premier réflexe est de nous dire : « aie aie aie, je ne suis plus moi-même. » et/ou « … je risque de me perdre… » au fond, nous avons peur d’être heureux car c’est l’inconnu. en fait, nous n’apprenons pas à être heureux. nous n’avons pas de classe de bonheur dans notre système scolaire. on nous dit même que le bonheur est à l’extérieur de nous, comme quelque chose à attraper, à gagner. on arrive même à penser que le bonheur est une difficulté dans notre vie. qu’il faut se battre pour l’obtenir. le bonheur se vit ! comme le bien-être se vit, le bonheur se vit. il n’y a pas de chemin vers le bonheur. le bonheur est le chemin. bouddha continuer la lecture → marqué avec accueillir , amour , amoureuse , amoureux , besoin , bien être , bonheur , clarté , control , élève , énergie , esprit , esprit grossier , heureux , intuition , justesse , lâcher prise , limite , maturité , mental , mieux trouver , observation , partage , patience , perdre , pleine conscience , porter , présence , raison , réconfort , remplir , sérieux , submergé , temps , vague , vie , vigilance , vivre en conscience , vouloir 1 2 3 … 8 suivant » ce blog est un espace d'intégration et de recherche. si vous n'avez pas vécu au plus profond de votre être c'est à dire intégré les fondements de ces articles ou de ces enseignements, vous ne pouvez pas les enseigner ou les transmettre mais simplement vous pouvez les pratiquer. pour les pratiquer, il ne s'agit pas de lire, il ne s'agit pas de citer, mais... vous devez entrer dans une pratique quotidienne !! dans tous vos instants. outre le fait qu'une bonne partie de ces articles font l'objet d'une méditation profonde, d'une reliance avec un flux certain d'énergie, il n'en est pas moins des courants de pensés, des pistes, des chemins à creuser pour le bien-être, la sérénité de votre corps, de votre esprit et de votre subtilité. d'autre part, et selon les articles 10 de la convention européenne des droits de l’homme du 4 novembre 1950 et 11 de la charte des droits fondamentaux de l’union européenne de 2000 : « toute personne a droit à la liberté d’expression. ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu’il puisse y avoir ingérence d’autorités publiques et sans considération de frontières… » en conséquence, le site lesintuitions.com ne remplace en aucune façon une consultation médicale ou les conseils de tout autre professionnel de santé. seul votre médecin généraliste ou spécialiste est habilité à l’établissement d’un diagnostic médical et à l’établissement du traitement adapté qui en découle. ce site utilise des cookies uniquement pour le comptage et les positions géographiques des visiteurs. aucune information n'est vendue ou encore cédée à de tierces personnes. veuillez consulter notre page politique-de-confidentialite ces fonds sont destinés uniquement pour la tenue du site. languages la radio votre navigateur ne supporte pas les iframes retrouver la prochaine radio lasource11me playtheradio lasource11me streaming newsletter mensuelle leave this blank: leave this blank too: do not change this: votre email: articles les + consultés Énergie sexuelle désir sexuel l'autre dans mon intimité 1 l'autre dans mon intimité 2 exercices pour rester jeune méditations-visualisation l’alimentation Équilibrée se pauser / se poser le site à méditer, à pratiquer (48) canalisations (5) enseignements (82) informations (19) plantes (4) recettes (9) soin de soi (19) enseignements 14eme dalaï lama arnaud desjardins sogyal rimpoché yvan amar echkart tolle mooji ancrages ou enracinement le lâcher prise se relaxer vaincre l'angoisse vaincre le stress vaincre la déprime histoires a méditer saisir la vie prendre le temps de la réflexion question de suicide impermanence prendre refuge l’attention informations principe ph quelques supers aliments plantes visualisations verticalité se pauser nettoyage extérieur Équilibre 5 éléments lumière le corps la circulation pages yvan amar sogyal rimpoché sa sainteté le 14 dalaï lama arnaud desjardins baie de goji spiruline la maca royale le jus de noni le curcuma le lapacho le chlorure de magnésium echkart tolle le jus d’herbe d’orge la baie d’açaï kombu royal (laminaria saccharina) tout ce que l’on peut faire à la maison avec du bicarbonate! notions d’astrologie chinoise filmothèque à connaître… les radicaux libres les omega 3, 6 et 9 minéraux et oligoéléments métaux lourds candida – la candidose les préparations produits alimentaires importants 4 phases de la lune fêtes bouddhistes fêtes en inde les 8 fêtes anciennes (païennes) déclaration des droits de l’homme mooji déclaration des droits de l’homme déclaration des droits de l’homme le wésak est le moment où l'union des énergies bouddhique et christique viennent ensemble pour bénir la terre et toute l'humanité à la pleine lune en taureau de chaque année. ne pas confondre avec l'anniversaire de bouddha qui serait au mois de mai. 2015 : 27 octobre 2020 : 31 octobre 2016 : 16 octobre 2021 : pas de lune en taureau 2017 : 4 novembre 2022 : 8 novembre 2018 : 24 octobre 2023 : 28 octobre 2019 : 12 novembre 2024 : 15 novembre 2025 : 05 novembre 2026 : 26 octobre archives juin 2018 mai 2018 avril 2018 février 2018 novembre 2017 octobre 2017 septembre 2017 août 2017 juin 2017 mai 2017 avril 2017 mars 2017 janvier 2017 novembre 2016 septembre 2016 juin 2016 mai 2016 avril 2016 février 2016 décembre 2015 novembre 2015 octobre 2015 septembre 2015 août 2015 juillet 2015 juin 2015 mai 2015 avril 2015 mars 2015 février 2015 janvier 2015 décembre 2014 novembre 2014 octobre 2014 août 2014 juillet 2014 juin 2014 mai 2014 avril 2014 janvier 2014 décembre 2013 novembre 2013 octobre 2013 septembre 2013 août 2013 juillet 2013 avril 2013 mars 2013 février 2013 janvier 2013 novembre 2011 octobre 2011 septembre 2011 août 2011 juillet 2011 juin 2011 mai 2011 avril 2011 mars 2011 février 2011 décembre 2010 novembre 2010 octobre 2010 septembre 2010 août 2010 juillet 2010 juin 2010 mai 2010 avril 2010 mars 2010 janvier 2010 septembre 2009 juillet 2006 septembre 2003 octobre 2002 janvier 2001 décembre 2000 novembre 2000 octobre 2000 septembre 2000 août 2000 tous les articles soutra de la voie du milieu sutra du diamant sutra du cœur esprit sans repos normalité top 27 aliments alcalins par william krasowsky les petites morts nature expériences ecouter les silences il est facile de dire… submergé(e) un être en tension est un être en modification la patience nous créons notre propre malheur mooji – un enseignant les dimensions ciel, humain, terre prendre le temps de la réflexion demeurer ou ne pas demeurer…ou être un demeuré le propre de l’humain les chakras… gaté, gaté les sons l’autre dans notre intimité – partie 3 cœur, honnêteté, amour pensée du jour se pauser – se poser acidose… le mal être caché par santé nutrition l’autre dans notre intimité – partie 2 nouvelle méditation 20 € – par auteur inconnu l’autre dans notre intimité – partie 1 les bardos par chépadorje rinpoché règles de vie selon bouddha la guérison vitamines où ça ? thé au gingembre nouvelle guidance, méditation, visualisation peur de bien faire ou recherche d’évolution la théorie des noeux dis moi ou tu bourgeonnes, je te dirai ce qui cloche par emanuelle haudegond jour du wésak enseignement du bien-Être pour les nuls Équilibre interne (partie 2) equilibre interne (partie 1) antibiotique naturel puissant par health care above all vin de persil 2015 où êtes-vous dans votre corps ? si tu veux changer le monde liste des eaux minérales qui contiennent le plus de fluor par www.sante-nutrition.org l’enseignement et toi exercices pour rester jeune le breuvage des centenaires la croyance et les mécanismes citron et huile d’olive centrage/décentrage… gluten, par aliki.ca tout à une fin méditation et voyages ? la souffrance Être en conscience. signification. la mort commence dans le colon par creer-son-bien-etre.org bon été ! le regard 02 – le système nerveux corps et esprit synesthésie ou la multiplication des sens intégrer comment puis-je… le regard 01 – l’esprit prendre soin de soi 02 prendre soin de soi 01 Énergie sexuelle et désir sexuel extrait d’enseignement… le mouvement journalier les liens provocants des effets secondaires crane de cristal souvenir d’une conscience perdue Énergie, absorption et compagnie peau terne pourquoi crions-nous quand nous sommes en colère ? pensée ouverte profession, coach de vie 12 herbes médicinales à connaître absolument quelques supers aliments a coeur ouvert ! les vibrations en nous l’alimentation Équilibrée energies trop plein ! l’origan contre l’indigestion Énergies les attachements Énergie la perception de l’autre Énergies, perte de repères Énergies, changements intérieurs, matière Énergies obligation de conscience Énergies être en conscience Énergies le lâcher-prise Énergies les petits nouveaux arrivés Énergies lieux et vibrations Énergies le mental et ses fonctionnements Énergies connection avec la terre et les autres plans les houmous et autres tartinades terrine de fenouil crêpes de légumes paté de gruyère végétal Énergies – douche de lumière Énergies centres d’énergie 2 Énergies centres d’énergie 1 Énergies effet fantôme Énergies ressenti physique large visitor globe si vous faites des exercices externes, vous devez faire des exercices internes. si vous faites des exercices internes, vous pouvez oublier la pratique des exercices externes info bienvenue contact contactez-moi À propos les intuitions developper vos intuitions copyright © 2000 - 2018 les intuitions , tous les droits réservés.